aller je vous fais part de mes tits poemes
Le premier date de quelques temps le début je le trouve pas génial
Comment faire avec tant d'amour à partager
et si peu de gens a qui le donner.
Sans espoir,
Rien de leur parts.
M'évadant de la Terre
En chantant des prières,
J'ai promis de ne pas partir
Mais pourtant j'ai envie de fuir.
Mon âme livide,
Mon coeur se vide.
Exaspérée par peur d'avoir qq douleurs
Je m'entoure d'une cruelle solitude
Qui m'enferme toujours plus dans l'incertitude:
Une isolation brutale
D'une incompréhension totale.
Ainsi mon silence devient armure
Contre toutes éclaboussures
Et on ne peut voir, dans mes yeux,
Que les souvenirs désastreux
D'une enfant abattue
Par des rêves déchus:
Une vie sans appel,
Une mort éternelle.
Celui-ci est court et c pas vraiment un poème
Mes douleurs s'installent et s'aggravent au gré de tes humeurs.
Je suis seule face à tes longs silences et muettement torturée par leurs paroles blessantes. Déséquilibrée sans toi je retrouve cette lassitude d'adolescente et ces sanglots d'enfants que tu n'aimes pas voir. Ma maladie empire puisque je ne peux trahir mon amour, j'étouffe dans cette crise et meurs a grandes larmes:
Je pleure le Mal de ton absence
Voila le troisième :
Comme la lumière qui illumine le croyant,
Je suis pénétrée par une douloureuse pluie,
Où d'obscures souvenirs se mêlent a mon sang.
Je deviens alors étrangère a mon esprit;
Habitée par une colère qui agite mes entrailles
Au point de m'en donner d'immondes nausées
Je livre une cruelle bataille.
Mais cette haine de moi prolifère et déchaîne mes pensées,
Mes sensations et mes sentiments en deviennent imprécis:
Je ne sais plus ce que je suis
Ni ceux que j'aime.
Mon âme reste étrangement dépendante à ce doux désespoir
Et finit par se noyer dans les profonds ténèbres de ma mémoire
Et le dernier :
J’entends courir les voix du monde
Sans que ne gronde
Aucun sourire.
Et de funestes souvenirs
Empestent ma conscience,
Tout meurt dans cette affreuse danse.
Des bruits trottent dans ma vie
Pour que mon esprit ne devienne que soucis :
Un doux délire d’ivresse
Me renvoie à ma tristesse.
Mes immondes songes reviennent envahir mon corps :
Déformée par ce sort,
Ecrasée par les mots
Je lutte à travers mes propres crocs.
Je souffre d’un mal inconnu
Celui de vivre sachant que je n’ai déjà que trop vécu.