General Motors > Le café des arts
A vos plumes
Marlou:
je sais pas :whistle:
hobes:
ptain dit !
Marlou:
ben non, je dévoile pas toute ma vie privée :o
Marlou:
J'ai mal au fond de moi, de mon coeur.
J'en ai assez de pleurer, je veux être forte.
J'ai écrit un peu, tout à l’heure
Pour me soulager, me libérer de cette douleur...
Mais à chaque fois que je me relis, les larmes coulent.
J’ai peur de faire du mal,
Mais en attendant c’est à moi que j’en fais.
Je ne sais pas trop quoi faire. Enfin si, mais ça me fait peur.
Tout m’effraie, mes sentiments, ceux des autres.
J’ai l’impression de ne pensais qu’à moi, d’être égoïste,
Mais c’est plus fort que moi, je suis si triste.
J’aimerai partir loin, fuir ma vie.
Quelle réaction de lâche, j’avoue.
Mais c’est ma plus grande envie.
Je rêve de pouvoir m’envoler loin de tout.
magellan:
Derrière les rideaux elle danse.
Loin de tout son corps se lance.
Elle se laisse porter par son corps,
Et en elle résonne le mot "encore".
De L'être aimé comme les ballerines.
Son visage sur le parquet elle dessine.
Et elle ferme les yeux de plaisir,
Quand il la regarde de son sourire.
Son parfum s'évapore sur sa peau,
Et l'homme pose ses mains sur son dos.
A deux ils dansent enlacés, soupirant,
Du bonheur d'aimer si intensément.
La musique s'arrête et ils continuent,
Ses mains la déshabille, elle l'ingénue.
Ses lèvres disent juste "viens en moi",
Et lui tombe les vêtements plein d'émoi.
Eperdus de s'être donné corps et âme,
Essouflés mais heureux loin des drames,
Ils s'aiment sans songer au temps qui passe,
Et se moquent du futur où tout s'efface.
curly-doll:
Fermeture à glissière
Nom commun, composé de trois mots. Dispositif mécanique permettant le raccordement et la séparation rapide de pièces de tissus. La fermeture se compose de deux bandes de tissus qui comportent des dents.
Ses dents prises dans une gencive de tissu
Font des lèvres cousues l’envers de l’attache,
Un noyau coulisse et son mutisme se fend
Dévoilant leur profondeur intime.
Les bandes sont mises l’une contre l’autre , les dents sont décalées.Le passage d’une navette permet d’emboîter les dents ou les séparer. On ouvre et ferme à l’aide de dents métalliques.
La carresse de la navette excite les rubans frisés.
Un leger plaisir jailli le long de leur ligne
Dans un va et vient langoureux
Jusqu’à la jouissance d’un point d’épine naissant.
La navette est une pièce comportant deux gorges qui se rejoignent d’un côté. Les gorges servent à glisser les dents lorsque l’on fait glisser la navette.
La languette pendante divise ce textile.
Elle glisse pour atteindre l’entredeux,
Cet abri lisse et métallique,
Cette barette,qu’elle quitte dans sa volupté.
Type d'attache particulièrement employé; disponible en métal ou en plastique, dans des styles, grosseurs et longueurs divers peut être cachée, complètement ouvrable ; pose variant en fonction de la place de la fermeture sur le vêtement.
Deux étoffes dentellées trop jeunes et peu flexibles
Luttent l’une contre l’autre, s’opposent à leur entrelacement.
Elles hésitent, s’observent, se craignent et se désirent.
En leur coeur se dresse une force.
D’un zip elles s’imbriquent et s’emboitent,
Consolident leur union : un point de passe.
Zip, zap, paf, clac, clash,
Ca déraille.
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