General Motors > Le café des arts
A vos plumes
indochine:
puisqu'il faut mettre nos oeuvres :
Le baiser
Ce jour là tu étais derrière moi, tu ne me voyais pas,
Lentement tu as posé ton nez sur ma nuque, tendrement,
J'ai senti ton souffle ralentir, mon coeur s'accelerer,
Et j'ai fermé les yeux, comme pour retenir cet instant.
Tes mains ont glissé au ralenti le long de mes bras dénudés,
Pour venir se poser sur ma taille et finir par m'envelopper.
La chaleur de ton corps tout contre moi,
Une sensation indubitable, je l'ai laissé m'envahir.
Puis c'est tes lèvres que tu as laissé glisser jusqu'à ma nuque,
Juste les laisser m'effleurer, juste un peu,
Dans ce silence il n'y a plus eu que le bruit de mon coeur qui battait,
Et nos deux souffles encore si loin l'un de l'autre.
Tu as laissé venir ta main jusqu'à mon menton,
Et tout en douceur tu l'as attrapé pour le faire pivoter jusqu'à toi,
Je t'ai laissé faire sans dire un mot, en gardant mes yeux fermés,
Et j'ai senti tes lèvres sur les miennes.
Le temps s'est arrêté pendant que tu m'as embrassé,
Je n'ai plus senti que tes mains sur mon dos,
Tes lèvres sur les miennes, si douces et agréables,
Et ton souffle qui se mêlait au mien, encore et toujours.
Lorsque nos lèvres se sont écartées,
Et que doucement j'ai fini par ouvrir mes yeux,
Tu as pris ma main dans la tienne,
Et tu as du voir les étoiles qui étaient dans mes yeux.
eyleha08:
Fille venant de l'incconu
Que la socièté à mise à nue
A l'aube de ses quinzes ans
Charlie rêve du prince charmant
Dans un grand cimetière
Où elle a fait sa tannière
Entre les tombes abandonnées
Charlie ne cesse de danser
Petite brune désinvolte
Née dans un monde effroyable
Charly hurle sa revolte
Pour oublier sa vie pittoyable
Destruction du virus
Pour une heure en plus
Pour une larme en moins
Dans cette vie de chien
Sans un bruit, tel une ombre
Elle s'enfonce dans la nuit sombre
Sous la lumière du reverbère
Son petit corps git à terre
Face à destin trop eceurant
Elle revait d'amour simplement
N'en pouvant plus d'etre délaissée
Charlie a finir par se suicider
Destruction du virus
pour une heure en moins
Pour une larme en plus
dans cette vie de chien
Petite brune désinvolte
Que la socièté a mise à nue
A l'aube des ses quinzes ans
Charlie n'est plus à présent
Dans un grand cimetière
où elle avait fait sa tannière
Entre les tombes abandonnées
Charlie repose pour l'éternité
:( j'avais écrit ça quand j'étais plus jeune mais franchement, je trouve ça nul maintenant!
KLeMiX:
Je suis pas contre une petite plume :o
indochine:
:d
curly-doll:
aller je vous fais part de mes tits poemes :p
Le premier date de quelques temps le début je le trouve pas génial
Comment faire avec tant d'amour à partager
et si peu de gens a qui le donner.
Sans espoir,
Rien de leur parts.
M'évadant de la Terre
En chantant des prières,
J'ai promis de ne pas partir
Mais pourtant j'ai envie de fuir.
Mon âme livide,
Mon coeur se vide.
Exaspérée par peur d'avoir qq douleurs
Je m'entoure d'une cruelle solitude
Qui m'enferme toujours plus dans l'incertitude:
Une isolation brutale
D'une incompréhension totale.
Ainsi mon silence devient armure
Contre toutes éclaboussures
Et on ne peut voir, dans mes yeux,
Que les souvenirs désastreux
D'une enfant abattue
Par des rêves déchus:
Une vie sans appel,
Une mort éternelle.
Celui-ci est court et c pas vraiment un poème
Mes douleurs s'installent et s'aggravent au gré de tes humeurs.
Je suis seule face à tes longs silences et muettement torturée par leurs paroles blessantes. Déséquilibrée sans toi je retrouve cette lassitude d'adolescente et ces sanglots d'enfants que tu n'aimes pas voir. Ma maladie empire puisque je ne peux trahir mon amour, j'étouffe dans cette crise et meurs a grandes larmes:
Je pleure le Mal de ton absence
Voila le troisième :
Comme la lumière qui illumine le croyant,
Je suis pénétrée par une douloureuse pluie,
Où d'obscures souvenirs se mêlent a mon sang.
Je deviens alors étrangère a mon esprit;
Habitée par une colère qui agite mes entrailles
Au point de m'en donner d'immondes nausées
Je livre une cruelle bataille.
Mais cette haine de moi prolifère et déchaîne mes pensées,
Mes sensations et mes sentiments en deviennent imprécis:
Je ne sais plus ce que je suis
Ni ceux que j'aime.
Mon âme reste étrangement dépendante à ce doux désespoir
Et finit par se noyer dans les profonds ténèbres de ma mémoire
Et le dernier :
J’entends courir les voix du monde
Sans que ne gronde
Aucun sourire.
Et de funestes souvenirs
Empestent ma conscience,
Tout meurt dans cette affreuse danse.
Des bruits trottent dans ma vie
Pour que mon esprit ne devienne que soucis :
Un doux délire d’ivresse
Me renvoie à ma tristesse.
Mes immondes songes reviennent envahir mon corps :
Déformée par ce sort,
Ecrasée par les mots
Je lutte à travers mes propres crocs.
Je souffre d’un mal inconnu
Celui de vivre sachant que je n’ai déjà que trop vécu.
XVI Ames:
Combien de temps me faudra-t-il ?
Une heure, un mois, peut-etre un an ?
Rien que pour dire, est-ce bien utile ?
La vérité, mes sentiments... ?
Y'a des choses que l'on n'explique pas,
-
Des choses que la raison ignore...
On les assume ou les endort,
Là je le crie à haute voix :
Laura je t'aime, je n'aime que toi !
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